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15 ATHLÈTES DU LOIRET PRÉSENTS AUX JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES DE TOKYO



15 athlètes olympiques et paralympiques du Loiret participent aux Jeux de TOKYO ! avec en chef de fil de la délégation française, Sandrine Martinet sociétaire de l'USO Judo.

Les Jeux, interdits l'an dernier par la pandémie, incertains souvent depuis, espérés fort ici et tant craints là-bas, investissent bien Tokyo cet été. La première flamme olympique, du 23 juillet au 8 août, éclairera les athlètes valides ; comme c'est désormais l'habitude depuis Pékin, en 2008, le second temps de lumières - du 24 août au 5 septembre - sera celui des handisportifs.

S'il a réussi à contraindre l'organisation au huis clos et donc, à priver les athlètes de tout soutien, jusqu'à celui de leurs proches, le Covid-19 n'a rien gagné d'autre.

Sur les 500 sélectionnés français, le Loiret et ses clubs seront représentés par une quinzaine d'athlètes et une poignée de dirigeants, tels que Florian Rousseau (athlétisme), Michel Boutard (gymnastique) et Yann Baillon (karaté), ou encore Grégory Halin, entraîneur adjoint de l'équipe de France féminine de basket.


De l'escrime... Pour la première fois, l'essentiel de la délégation départementale ne proviendra pas de l'USO judo mais de son plus proche voisin, dans le quartier des Murlins : le Cercle d'escrime orléanais. Manon Brunet, quatrième à Rio il y a cinq ans, et Cécilia Berder, membre elle aussi du gratin mondial du sabre, constitueront d'ailleurs les meilleures chances de titres olympiques, en individuel comme en équipe. Quant à Sandro Bazadzé, pensionnaire de l'académie que Christian Bauer a installée dans la salle d'armes Pierre-d'Oriola, lui aussi peut prétendre aller loin, et haut, et fort, mais sous le plastron de la Géorgie.

Sport roi des jeux Olympiques, l'athlétisme sera représenté par le sprinter de l'ECO-CJF Amaury Golitin (sur le relais 4x100 m), et Lolasson Djouhan. Licencié à Martigues, le colosse orléanais a déjà marqué les esprits en étant le premier discobole français à se qualifier depuis 1988. Sera-t-il le premier à s'imposer sur le podium depuis 1932 ?

Autres belles histoires (si elle n'était assombrie, pour Lolasson Djouhan, des difficultés à boucler les fins de mois), de Marion Borras, étudiante à Orléans et membre de l'équipe de France de poursuite, et d'Adrien Bart, le céiste, qui ne cesse de progresser depuis les Jeux de Rio.

Florian Thauvin a jouer avec l'équipe de France de football dès ce jeudi 22 matin à 10 heures (heure française)

Tant le football (avec l'Ingréen Florian Thauvin, qui pourrait être le premier Bleu à cumuler les victoires en Coupe du monde et aux jeux Olympiques) que le basket (Helena Ciak, pivot saranaise de l'équipe de France) et le handball (Pauletta Foppa, la toute jeune Montargoise, championne de France et finaliste de la ligue des champions avec Brest, et Alexandra Lacrabère, ex-capitaine de Fleury) peuvent rêver de podium. Mais la préparation chaotique ou les derniers résultats ne font pas des trois sélections des favorites.

Comme Gloria Agblemagnon, Sandrine Martinet et Lucas Mazur, en revanche, assument n'être que des chercheurs d'or à Tokyo. Mais si le badiste orléanais veut marquer l'histoire du parabadminton, qui investit à son tour le champ olympique, la judoka mal-voyante de l'US Orléans est déjà reconnue comme l'une des plus grandes : première championne paralympique française à Rio en 2016, trois fois médaillée, Sandrine Martinet vivra ses cinquièmes Jeux à Tokyo. Au pays du judo et du soleil levant. Porte-drapeau des Bleus, elle pourra tirer sa révérence ensuite, au contraire de tous les autres, ou presque : Paris 2024 n'est jamais que dans trois ans. Déjà.

Rémy Boullé 5e aux Paralympiques de Rio en Kayak à la finale du 200m, concourra quant à lui à partir du 3 septembre.


Sandrine Martinet, porte-drapeau et porte-voix


Si elle peut devenir la première athlète du Loiret à être sacrée championne olympique pour la deuxième fois (à cinq ans d'intervalle), Sandrine Martinet a déjà dépassé Marc Alexandre, Florian Rousseau, Stéphane Traineau et tous les autres immenses champions attachés au Loiret : avant la judoka de l'US Orléans, aucun sportif local n'avait en effet eu le privilège d'être désigné porte-drapeau de la délégation française. Choisie par le public pour tenir bon la hampe avec Stéphane Houdet, le tennisman en fauteuil, Sandrine Martinet est évidemment aux anges d'être "la capitaine" de l'équipe de France paralympique.

Transmettre son expérience, guider, soutenir, rassurer, encourager, entraîner, consoler aussi... ses quatre Jeux, ses trois médailles (une d'or et deux d'argent) et sa terrible déconvenue à Londres (victime d'une fracture de la malléole en plein combat), elle a tout connu pour savoir quoi faire, quoi dire, "pour que ces Jeux soient fantastiques!" Ils le seraient d'autant plus si cette maman de deux enfants, kiné de formation, parvenait à 38 ans à conquérir un nouveau titre... dans la catégorie de poids inférieure (48 kg) à celle qu'elle dominait jusque-là.


→ Comment suivre suivre les JO 2021 ?

France Télévisions (France 2, France 3 et France 4) et Eurosport couvriront largement l'événement. En direct, à partir de minuit (heure française) et jusqu'au milieu de l'après-midi. Il y a un décalage horaire de 7 heures. Quand il est midi au Japon, il est 5 h du matin à Paris.











Source : www.larep.fr




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