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RIO 2016 PARACANOEFélicitations aux champions Loirétains Agnès LACHEUX et Remi BOULLE pour leur classement aux jeux paralympiques. Les deux kayakistes du Canoë-kayak Club Orléanais ont terminé respectivement 7ème et 5ème de leur finale, hier, sur le 200 mètres (catégorie KL1). Quelques regrets pour Remi BOULLE qui avoue à chaud sur Facebook : « la déception est la comme vous l'imaginez. On est 5 à se tenir en moins d'une seconde. Il me manque du physique. Je n'oublie pas qu'il y a 1 an je sortais tout juste de l'hôpital. A moi de savoir rebondir pour devenir numéro 1 en 2017 et écraser la concurrence. ». Il nous promet la médaille d'or pour les Jeux de 2020, à Tokyo ! Agnès LACHEUX quant à elle déclare très sportivement sur sa page Facebook : « Je ne décroche pas de médaille comme certains auraient aimé. Mon parcours en paracanoe est récent. J'ai fait une super course, les autres étaient meilleures. Je n'ai aucun regret parce que j'étais là, j'ai donné le meilleur de moi même et vous étiez là, avec moi. ». Présentation de cette nouvelle discipline paralympique : Les courses de paracanoë se déroulent sur 200m, en confrontation directe, comme en course en ligne. Deux types d'embarcations sont représentés ; le kayak ou la pirogue, mais seul les épreuves de kayak sont inscrites au programme paralympique. C'est en 2007 qu'a lieu la première compétition internationale de handikayak à l'époque, lors de la Coupe du monde de course en ligne à Gérardmer. Un an plus tard, le paracanoë entre dans le giron de la Fédération Internationale de Canoë, qui l'intègre pour la première fois aux championnats du monde en 2009. La reconnaissance par le Comité International Paralympique arrive l'année suivante. Enfin c'est à Rio que le paracanoë fait son entrée au programme des Jeux paralympiques. Discipline jeune à l'ascension rapide sur la scène sportive internationale, le paracanoë a du rapidement se structurer, notamment en terme de classification des compétiteurs admis à courir en compétition. Basée au départ sur une étude menée par l'aviron, la classification va ensuite évoluer au cours de l'olympiade. Actuellement, elle est décomposée en trois classes : KL1 : pour les athlètes n'ayant pas l'usage des jambes ou un usage très limité. KL2 : pour les athlètes ayant une fonction partielle des jambes et du tronc. KL3 : pour les athlètes ayant une fonction partielle des jambes. source - crédit photo: Canoë-Kayak Magazine / FFCK A consulter aussi
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